Paris l'été

Je kiffe, Paris s’est enfin vidé. Depuis le début de l’été (enfin on se comprend), les gens persistaient à ne pas partir et à me souffler dans le cou dans le Métro. Et là, tadamm : ils sont enfin partis.

J’aime plus que tout Paris l’été et plus précisément au mois d’août : cette douce nonchalance qui s’empare de la ville, les rues qui s’étirent gracieusement et tous ces accents colorés qui prennent la ville d’assaut avec les touristes en tout genre, le métro où l’on peut enfin s’asseoir sans se manger un plaquage des All Blacks dans la face… J’adore plus que tout Paris l’été.

Sauf…quand j’ai deux trois bricoles à faire. Oh, rien de très compliqué. Me laisser aller au plaisir d’une petite cochonnerie? Super, j’ai le temps de passer à ma boulangerie-pâtisserie préférée pour me faire plaisir. Trop facile : fermé bien-sûr. Bon ok j’avoue sur ce coup là c’est un mal pour un bien, mais ce n’est pas une raison. Et puis d’un autre côté avec la météo de ouf que l’on a, je n’ai pas la pression pour me mettre en maillot de bain alors un petit éclair au chocolat est le bienvenu.

Un magazine pour buller en presque terrasse, histoire de me dire que l’automne (euh pardon l’été) n’aura pas raison de moi? Fermé, fermé, fermé. Des clopes peut-être ? Non, non oubliez, c’est vrai faut pas pousser quand même. Reste le Monop’, toujours fidèle au poste.

C’est une sensation agréable je vous le confesse (mais de trop courte durée car ils ont tout de même attendu la semaine du 15 août pour bouger).

Cet été je ne l’ai définitivement pas senti passer !!