Un nolife (de l'anglais no life, littéralement « pas de vie » ou « sans-vie ») est une personne qui consacre une très grande part, si ce n'est l'exclusivité, de son temps à pratiquer sa passion au détriment d'autres activités, affectant ainsi ses relations sociales. Et là vous vous demandez si le besoin inexplicable de consulter Hotmail, MySpace, Facebook et YouTube dès que vous êtes sur Internet fait de vous un ou une nolife ?
Les nolifes s'investissent lourdement dans la recherche d'échanges, de relations, qui ne pourront pas leur causer de souffrances ou remettre en cause l'image qu'ils ont d'eux-mêmes. C'est l'aspect "social" virtuel, puisque les joueurs et/ou les contacts sont anonymes et peuvent donc se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, à l'abri derrière leur écran et leur « skin » (apparence virtuelle et idéale de leur personnage). Avec Second Life, la vie virtuelle prend parfois le dessus. On peut alors vivre une "seconde vie" sous la forme d'un avatar et enfin être ce que l’on veut vraiment : riche homme d’affaires, bombasse, Player, etc. Ce phénomène est-il simplement dû à la mutation d’internet en média à part entière ou est-il représentatif de l’évolution des relations humaines?
Maybe, car le Web 2.0 en général est chronophage. En effet, les NTIC ont cette capacité à s'accaparer notre temps. Il faut avoue qu’il n’est pas évident pour une personne occupant un boulot et ayant d'autres loisirs (sport, lecture, ciné, télé, animaux, traîner dans les transports en communs, faire des câlins...) de faire joujou avec l’ensemble de ces services. Le temps, voici la principale limite du Web 2.0, car pendant que l’on consulte les pages de nos contacts MySpace ou Facebook, on ne fait rien d’autre.
Maybe, car le Web 2.0 en général est chronophage. En effet, les NTIC ont cette capacité à s'accaparer notre temps. Il faut avoue qu’il n’est pas évident pour une personne occupant un boulot et ayant d'autres loisirs (sport, lecture, ciné, télé, animaux, traîner dans les transports en communs, faire des câlins...) de faire joujou avec l’ensemble de ces services. Le temps, voici la principale limite du Web 2.0, car pendant que l’on consulte les pages de nos contacts MySpace ou Facebook, on ne fait rien d’autre.
Oh Mon Dieu (Yann Barthès sort de ce corps) ! J’ai une page MySpace, un compte Facebook et je tiens ce blog, suis-je une nolife ? Et Madame Michu qui kiffe M6 Boutique et qui achète des gadgets encore plus inutiles de Kevin Federline, est-elle une nolife ?
1 commentaire:
Non, mais que cherchons nous avec tout ça? avant on en se posait pas de questions quant au devenir de certaines personnes, je pense que c'est une sorte de voyeurisme, savoir ce que sont devenus certains sans leur parler ou encore reprendre contact avec d'autres qu'on a quitté parce que la vie l'a décidée ainsi, ou encore pour ma part sur cop d'avant j'étale ma vie pour celles et ceux que j'aime et qui ma manquent ou encore plus "tordu" pour faire les pieds à ttes ces petites p**** du lycée qui ont essayer de nous séparer. Bref c'est plus un phénomène de société, que du No life sinon attaquons nous à tous ces sites de jeux ou porno ou je ne sais quoi encore... Ca va passer c'est la mode.
Audus
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