J'ai lu « Malavita » de Tonino Benacquista. Une famille américaine s'installe un beau jour, dans une petite commune normande, Cholong-sur-Avre. Ils sont quatre, le père, la mère, Belle (oui oui, c’est son nom) la fille, Warren le fils et la chienne... Le père se dit écrivain, la mère s'occupe de bonnes œuvres et Belle... A priori rien de bien passionnant, une famille bien sous tous rapports.
Le père Blake écrit ses mémoires, mais ce ne sont pas celles d'un banal citoyen américain. Le repenti Giovanni Manzoni, ancien parrain de la Cosa Nostra, rédige, dans le calme de la Normandie, ses souvenirs de mafieux. Une époque pour laquelle il ressent une certaine tendresse, le souvenir de la fascination qu'il exerçait alors sur ses acolytes, de cette capacité incroyable à se positionner au-dessus des lois et de tous.
« Malavita » est un livre qu’il faut aborder sans rien en savoir. Perso, je l’ai acheté il y a un moment déjà, intriguée par le résumé de la 4e de couv’.
Benacquista fait preuve d’un sacré talent, en rendant tout possible via les rebondissements de l'intrigue. Il arrive à mettre en avant chacun des personnages, à jongler avec les hasards et les coïncidences sans que ce ne soit lourd ou prévisible. Ce roman est un mélange des genres : à la fois empreint de suspens, de philosophie, de psychologie et d’irrationnel.
Tonino Benacquista est plus qu’efficace, il nous pousse indirectement à réfléchir sur les notions d'impunité, de culpabilité et de repentir…
A ne pas rater !
Le père Blake écrit ses mémoires, mais ce ne sont pas celles d'un banal citoyen américain. Le repenti Giovanni Manzoni, ancien parrain de la Cosa Nostra, rédige, dans le calme de la Normandie, ses souvenirs de mafieux. Une époque pour laquelle il ressent une certaine tendresse, le souvenir de la fascination qu'il exerçait alors sur ses acolytes, de cette capacité incroyable à se positionner au-dessus des lois et de tous.
« Malavita » est un livre qu’il faut aborder sans rien en savoir. Perso, je l’ai acheté il y a un moment déjà, intriguée par le résumé de la 4e de couv’.
Benacquista fait preuve d’un sacré talent, en rendant tout possible via les rebondissements de l'intrigue. Il arrive à mettre en avant chacun des personnages, à jongler avec les hasards et les coïncidences sans que ce ne soit lourd ou prévisible. Ce roman est un mélange des genres : à la fois empreint de suspens, de philosophie, de psychologie et d’irrationnel.
Tonino Benacquista est plus qu’efficace, il nous pousse indirectement à réfléchir sur les notions d'impunité, de culpabilité et de repentir…
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