Samedi après-midi pluvieux, je feuillette le Elle de la semaine. Et là je tombe sur un article sur les ravages d’Internet dans les relations amoureuses. Je découvre alors que selon une étude canadienne, Facebook occasionne la jalousie et altère le romantisme. Facebook a donc cette capacité à foutre la merde au sein des couples ? Quand on y pense bien, c’est vrai. Parce plus on passe du temps sur le site et plus on est méfiante envers sa moitié (que l’on soupçonne de faire de même).
Il y a quelques temps, Internet, c’était le nouvel eldorado de l’amour avec le boom des sites de rencontres !! Aujourd’hui, j’apprends quoi ? Il y a quelques semaines un tribunal anglais penchait sur le premier meurtre du à Facebook. Oui oui, un meurtre ! Un anglais de 41 ans a été condamné à la prison à vie pour avoir tué sa femme dont il venait de se séparer, parce qu’elle avait changé sont statut de « mariée » à « célibataire » sur Facebook. Je savais que le changement de statut était source d’embrouille mais de là à tuer quelqu’un. Mais dans quel monde vivons-nous ?
Entre l’espionnage à base de « faux profil » et le flirt virtuel, les sites communautaires ne font qu’alimenter la paranoïa au sein du couple. On est flatée quand un bel inconnu nous laisse un com symphatique. On a envie d’en savoir plus de faire connaisse, etc. On se retrouve à tromper virtuellement l’autre. Facebook, MySpace, c’est sympa mais le tout est de faire la part des choses et de ne pas devenir accro. Quand on commence à espionner son mec ou son ex sur Facebook, c’est mort, vaut mieux supprimer son compte avant de péter un câble.
Mais pourquoi sommes-nous tous accros ?
Disons-le, Facebook c’est surtout du voyeurisme. On voit ce que font les autres, ils étalent leur vie. On a alors l’impression d’en faire partie, de les connaître intimement. On y prend goût et on en demande encore. Dans le cas d’un couple, le monde entier devient spectateur de la relation. Et la seule angoisse lorsqu’il y a rupture est de savoir si le changement de statut apparaitra sur la home.
Facebook est-il une forme moderne d’exhibitionnisme ou bien un simple divertissement auquel on accorde trop d'importance ?
Il y a quelques temps, Internet, c’était le nouvel eldorado de l’amour avec le boom des sites de rencontres !! Aujourd’hui, j’apprends quoi ? Il y a quelques semaines un tribunal anglais penchait sur le premier meurtre du à Facebook. Oui oui, un meurtre ! Un anglais de 41 ans a été condamné à la prison à vie pour avoir tué sa femme dont il venait de se séparer, parce qu’elle avait changé sont statut de « mariée » à « célibataire » sur Facebook. Je savais que le changement de statut était source d’embrouille mais de là à tuer quelqu’un. Mais dans quel monde vivons-nous ?
Entre l’espionnage à base de « faux profil » et le flirt virtuel, les sites communautaires ne font qu’alimenter la paranoïa au sein du couple. On est flatée quand un bel inconnu nous laisse un com symphatique. On a envie d’en savoir plus de faire connaisse, etc. On se retrouve à tromper virtuellement l’autre. Facebook, MySpace, c’est sympa mais le tout est de faire la part des choses et de ne pas devenir accro. Quand on commence à espionner son mec ou son ex sur Facebook, c’est mort, vaut mieux supprimer son compte avant de péter un câble.
Mais pourquoi sommes-nous tous accros ?
Disons-le, Facebook c’est surtout du voyeurisme. On voit ce que font les autres, ils étalent leur vie. On a alors l’impression d’en faire partie, de les connaître intimement. On y prend goût et on en demande encore. Dans le cas d’un couple, le monde entier devient spectateur de la relation. Et la seule angoisse lorsqu’il y a rupture est de savoir si le changement de statut apparaitra sur la home.
Facebook est-il une forme moderne d’exhibitionnisme ou bien un simple divertissement auquel on accorde trop d'importance ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire