dimanche 21 septembre 2008
mercredi 17 septembre 2008
Je garde ou je ressors 101
Cet automne, je garde ou je ressors :
- Les platform shoes et autres talons improbables
- Le perfecto
- Les compensées
- Tout ce qui est taille haute
- Les gilets de (fausses) fourrures sans manche ou à manches 3/4
- Les collants de couleurs de l'automne derniers
- Le blazer noir, bleu ou coloré
- Les low boots et les richelieus
- Les robes longues de cet été version hiver
- Les lunettes à verres transparent pour me la jouer intello
- La veste en tweed
- La robe minimale
- Le chemisier retro
- Le caban
- Le tartan
lundi 8 septembre 2008
J'ai lu... Entre les murs de François Bégaudeau
Intriguée par le battage médiatique dont ce livre a fait l'objet suite à l'adaptation cinématographique primée à Cannes, je l'ai achetée. Perso, je l'ai trouvé affolant. En gros, le livre retrace une année scolaire, entre les murs d'un collège parisien et le vain combat d'un jeune professeur de Français.
On découvre ce professeur, peu exact dans ses explications, qui commet des erreurs de syntaxe grossières, dont les préparations de cours semblent inexistantes et qui traite par moment ses élèves comme des moins que rien. Bien entendu, il s'agit d'une fiction. Mais comme on le sait, il y a toujours une part de vrai quelque part.
Le style d’écriture est très contemporain, les dialogues sont quasi sans texte. Malgré la stupeur, on rit, à la fois parce que c’est drôle mais également parce qu’on est halluciné par le niveau scolaire de ces jeunes. Ces enfants ne réalisent pas qu'ils se marginalisent eux-mêmes et qu'ils sont en plus marginalisés par les autres, les profs font ce qu'ils peuvent mais sont désabusés et surtout dépassés.
Tout le monde en prend pour son grade : l'éducation nationale, les profs, le proviseur et les élèves.
La conclusion qui émerge à la lecture de ce bouquin c’est que l'école n'est pas prête de résoudre ses problèmes de si tôt. C'est triste à dire, mais c’est la société dans sa globalité qu'il faut changer.
A lire, afin de se faire sa propre idée d'un roman duquel on a beaucoup parlé...
On découvre ce professeur, peu exact dans ses explications, qui commet des erreurs de syntaxe grossières, dont les préparations de cours semblent inexistantes et qui traite par moment ses élèves comme des moins que rien. Bien entendu, il s'agit d'une fiction. Mais comme on le sait, il y a toujours une part de vrai quelque part.
Le style d’écriture est très contemporain, les dialogues sont quasi sans texte. Malgré la stupeur, on rit, à la fois parce que c’est drôle mais également parce qu’on est halluciné par le niveau scolaire de ces jeunes. Ces enfants ne réalisent pas qu'ils se marginalisent eux-mêmes et qu'ils sont en plus marginalisés par les autres, les profs font ce qu'ils peuvent mais sont désabusés et surtout dépassés.
Tout le monde en prend pour son grade : l'éducation nationale, les profs, le proviseur et les élèves.
La conclusion qui émerge à la lecture de ce bouquin c’est que l'école n'est pas prête de résoudre ses problèmes de si tôt. C'est triste à dire, mais c’est la société dans sa globalité qu'il faut changer.
A lire, afin de se faire sa propre idée d'un roman duquel on a beaucoup parlé...
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